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Quand on ne sait ni lire, ni écrire, se déplacer est un véritable pari de tous les jours. D’autant plus en milieu rural, là où l’offre de transports collectifs est réduite à peau de chagrin. Dans cette analyse, nous chercherons à mettre en évidence les difficultés rencontrées par de nombreux apprenants en alphabétisation en termes de mobilité quotidienne.
Cette étude porte sur la relation entre des apprenants en alphabétisation et leur CPAS et plus particulièrement sur l’ensemble de facteurs structurant leur tendance au recours aux aides. L’enquête se concentre donc sur leur non-recours.
La présente analyse se penche sur le dispositif des formations concomitantes. Elle a pour objectif de montrer que, si l’imbrication des différents contextes formatifs (notamment caractérisée par la connexion entre les savoirs) se révèle pertinente pour atteindre un stade dit « abouti » de concomitance, le processus peut se révéler long et truffé d’« épines ».
« Choisissez votre clé numérique pour vous identifier », « Se connecter avec itsme », « Vous avez une question sur votre dossier ? Le plus simple et le plus rapide est de vous connecter pour remplir en ligne le formulaire lié à votre question »… Les exemples de démarches administratives à réaliser en ligne ne se comptent plus.
Si l’obtention du Certificat d’études de base (CEB) constitue un des possibles moyens de validation de parcours et de compétences pour un public en alphabétisation, peu d’apprenants de Lire et Écrire sont actuellement inscrits dans un processus leur permettant d’atteindre cette étape.
Si les travailleurs sociaux incarnent à une certaine époque les bras armés d’un social dit intégrateur, ils agissent, depuis les années quatre-vingt et la montée en puissance des formes de précarité, dans une dynamique nouvelle.
Sur quelles bases se développe une dynamique d’engagement en formation pour des apprenants en alphabétisation ? Quels facteurs contribuent à leur persévérance, à leur implication face à l’apprentissage des savoirs de base ? C’est à ces deux questions générales que cette étude entend répondre en plaçant le focus sur des apprenants allophones issus de l’immigration.
Cet article part d’une interrogation simple qui préoccupe un grand nombre d’opérateurs de formation en Belgique francophone : comment interpréter la baisse du nombre d’apprenants ? Plus précisément, qui vient moins en formation, et pourquoi ?