Questions fréquentes
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Lire et Écrire publie :
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Ce numéro témoigne de la complexité de la tâche, souvent trop rapidement perçue comme un simple rôle d’information.
Réflexion critique sur les référentiels, leurs enjeux. Présentation du référentiel de Lire et Écrire, ainsi que des référentiels métier et de la grille générique des savoirs de base produits par l’Interfédération wallonne des EFT et des OISP.
« En toile de fond : le constat d’une vulnérabilité sociale croissante des publics de l’alpha, conjuguée au “paradigme” de l’État social actif, qui exerce une violence institutionnelle de plus en plus dure envers les plus exposés aux mutations socioéconomiques. »
Pourquoi fêter aujourd’hui le 200e numéro du Journal de l’alpha avec le thème de la pédagogie du projet, alors que cela fait 35 ans qu’on parle de pédagogie du projet comme outil au service de la libération des groupes dominés ?
Développer la coopération et la collaboration en alpha, c’est parier sur les intelligences collectives et la capacité à s’emparer des questions du secteur, pour coconstruire des pratiques en phase avec les réalités actuelles.
En lien avec la campagne « Rosa » du 8 septembre 2015. Les contributions de ce « Journal de l’alpha » posent toutes des constats sur les effets des politiques d’activation et de contrôle – accompagnement des chômeurs, aide sociale, accueil des primoarrivants… – sur les publics en difficulté de lecture-écriture. Elles pointent des impasses, des inquiétudes, des incompréhensions… et parfois de la souffrance.
Tues, chuchotées ou exprimées avec véhémence, que deviennent les émotions, passé le pas de la porte d’un espace de formation ? Force est de constater que peu de courants pédagogiques se sont intéressés à (...)
Vivre dans un nouveau pays implique de mobiliser de nouvelles compétences pour trouver un logement, du travail, réaliser les actes de la vie quotidienne… Dans cette trajectoire, qui à bien des égards s’apparente à un défi, l’accès à un espace de formation linguistique est une ressource importante. Le volet linguistique des parcours régionaux d’accueil pour les primoarrivants constitue en ce sens une tentative de réponse à ce besoin. Il n’apporte cependant qu’une réponse très partielle et, de plus, largement inadaptée aux besoins d’apprentissage des personnes pas ou peu scolarisées dans leur pays d’origine. Réponse très partielle, inadaptée, qui ne peut en aucun cas être utilisée comme indicateur de contrôle de la volonté d’intégration des personnes nouvellement arrivées en Belgique.