Questions fréquentes
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Se doter de balises réflexives pour, lorsque nous pourrons nous retrouver dans les salles de formation, tirer parti au mieux de cette période bouleversante.
Indicateurs-clés sur les apprenant·es et sur les formations en alpha dans tout le mouvement Lire et Écrire.
Les difficultés d’entrée dans la lecture, les difficultés sociales et psychologiques, la question des « dys », du handicap et de son étiquetage, les dissonances cognitives… autant de réalités qui peuvent peser sur les apprentissages.
En alphabétisation encore plus que dans d’autres pratiques de formation d’adultes, les « difficultés d’apprentissage » sont au cœur du métier. Il s’agit de restaurer un espace où les difficultés (scolaires) d’apprentissage (scolaire) à l’origine de l’illettrisme, deviennent des leviers d’apprentissage.
« Le discours des agents de guidance laisse transparaitre l’importance de la qualité de la présence et de la dimension humaine, sensitive et délicate qui ne peut que difficilement se ressentir au travers des écrans. »
Pourquoi identifier les déterminants pédagogiques ? En quoi cette grille d’analyse peut-elle soutenir nos pratiques ? Et comment s’en emparer en alphabétisation des adultes ?
Les pratiques d’alphabétisation ne sont pas nécessairement émancipatrices. Elles le sont quand elles prennent appui sur le « tous capables » et le pouvoir d’agir individuel et collectif, quand elles permettent de construire des rapports offensifs à travers des interactions entre les expériences vécues et les apprentissages.
(Article du Journal de l’alpha 220 : « Émancipation ».) « Son émancipation, on pourrait la définir comme une succession d’échappées belles, hors des sentiers battus, la menant au-devant de nouveaux défis. Défis que souvent elle-même provoquait et qui lui ont permis de pousser des portes. »