En fonction des pays, on constate de grands écarts dans l’état d’avancement des projets. Ces différences sont très perceptibles lorsqu’on aborde les exigences liées aux labels nationaux de qualité (quand ils existent), l’organisation de l’inspection des cours, le système d’accréditation des formations et des formateurs, etc.
Néanmoins, tous les partenaires présents sont d’accord pour reconnaître que la démarche « qualité » doit être appréhendée comme un processus évolutif dont les améliorations sont décidées par l’ensemble des acteurs.
Autre point important mis en avant au cours des débats : quelle que soit la démarche « qualité » choisie, l’apprenant doit rester au centre du processus.
L’objectif n’est pas d’obtenir un label mais de réaliser des formations de qualité en alphabétisation.
Certains mettent aussi en avant l’importance de l’autoévaluation, une pratique qui devrait permettre à chacun de s’inscrire dans un processus de perfectionnement continu.
Il est aussi essentiel d’associer dès le départ tous les acteurs (administratifs, formateurs, apprenants, managers, etc.) dans cette démarche et d’assurer une totale transparence à l’ensemble du processus.